4L Trophy 2018 : MédecinDirect parraine l'équipage Fast 4L
En février dernier, l’équipe Fast 4L soutenue par MédecinDirect bouclait brillamment le 4L Trophy 2018.
L’épreuve s’est déroulée du 12 au 27 février dernier, de Biarritz à Marrakech. Après une panne à Poitiers, l’aventure démarrait mal pour Paul et Nicolas, nos deux trophystes. Mais, la 4L termine la première étape à Biarritz, passe les contrôles de sécurité. À l’issue d’une dernière vérification médicale de l’organisation, l’équipage 1727 peut prendre enfin le départ !

"Attention à ne pas manger de fruits et à ne pas boire de l’eau n’importe où", prévient le médecin. "Attention, pas trop d’alcool ! Cela ne se conjugue pas bien avec la route et la fatigue" se souvient Nicolas. Confort relatif, mais pas de soucis sur la route et lors de la traversée de l’Espagne - avec une étape nocturne. La traversée en bateau ne pose pas de problème non plus. Paul est rassuré : en cas de besoin, il sait qu'il peut contacter MédecinDirect depuis son smartphone.
À peine les roues posées au Maroc, direction Boulajoul à l’aide des premières pages du roadbook. Pour y arriver : 700 kms et bivouac à 1 500 mètres d’altitude. Paul est « mort de froid » dit-il. 3 voitures de La Croix-Rouge et plusieurs médecins de l’organisation sont à pied d’oeuvre en cas de besoin : ils suivront le rallye pendant toutes les étapes au Maroc.
Premier réveil à 5h au son de la musique du bivouac, petite dose de Vitamine pour nos deux pilotes sur recommandation du médecin de MédecinDirect, et c’est parti pour 350 kms (seconde étape vers Merzouga).
3 nuits de bivouac s’enchainent alors et les habitudes s’installent, même s’il faut défaire et refaire son campement chaque jour. Pas ou peu de problème de santé bien que l'une des filles d’un équipage voisin souffre d'un problème oculaire (yeux gonflés). C’est le médecin de l’organisation qui propose une pomade antibiotique. En prévention, Paul et Nicolas lavent leurs yeux chaque soir et chaque matin avec une dose de sérum afin d’éviter une infection due aux poussières de sable, comme il leur a été recommandé par l'un des médecins de MédecinDirect !
Avec 5 degrés la nuit et 25 degrés la journée, les 2 journées suivantes se passent sans encombres, en autonomie totale, munis d'un compas et d'un roadbook seulement. Le soir, nos équipages se regroupent à 7 ou 8 voitures pour le bivouac, en cercle avec chacun sa tente. "Nous avons dormi au milieu de nulle part, toujours la balise de détresse au cas où…" raconte Paul.
Arrivée à Marrakech pour la dernière étape via un col à 2 500 m d’altitude dans la neige et, enfin, la ligne d’arrivée sous les applaudissements de plusieurs centaines de familles. Repos et tourisme avant la soirée de clôture « chez Ali », puis dernier coup de collier pour un retour via Tanger, et surtout une dernière étape d’une traite de 23 heures entre Algeciras (Sud de l’Espagne) et Paris. La nuit au volant est difficile avec le froid et la 4L n’a plus de chauffage... Une bonne nuit au retour s’imposera alors pour récupérer, la tête pleine de souvenirs inoubliables !
